On a dû monter le film avec Grégoire Sivan à partir de plans pas du
tout finalisés : voir ci-dessous l'allure des rushes des séquences de
début et de fin !
Il fallait boucler le montage avant d'attaquer les effets : pour éviter
un travail de compositing inutile car coupé au montage final par
exemple, ou pour pouvoir prendre en charge le compositing de nouveaux
plans "bricolés" par l'inventif Grégoire pour servir le montage.